De nombreux Kenyans souffrent de malnutrition parce que ?

Plusieurs facteurs contribuent à la malnutrition au Kenya :

- Pauvreté : De nombreux Kenyans vivent dans la pauvreté, ce qui limite leur accès à des aliments nutritifs.

- Sécheresses et inondations : Le Kenya est sujet aux sécheresses et aux inondations, qui peuvent perturber la production alimentaire et rendre difficile l’accès à la nourriture pour la population.

- Petite agriculture : De nombreux agriculteurs kenyans sont de petits exploitants qui produisent pour leur propre consommation. Cela peut rendre difficile pour eux de produire suffisamment de nourriture pour répondre aux besoins de leur famille.

- Manque d'accès à l'éducation : De nombreux Kenyans n’ont pas accès à l’éducation, ce qui peut limiter leurs connaissances en matière de nutrition et sur la façon de cultiver et de préparer des aliments nutritifs.

- VIH/SIDA : Le VIH/SIDA est un problème majeur au Kenya, et il peut conduire à la malnutrition en affaiblissant le système immunitaire et en rendant difficile l'absorption des nutriments.

Les facteurs supplémentaires qui peuvent contribuer à la malnutrition au Kenya comprennent :

- Inégalités entre les sexes :Les femmes et les filles sont souvent plus vulnérables à la malnutrition que les hommes et les garçons en raison de pratiques discriminatoires et du manque d'accès aux ressources.

- Assainissement et hygiène inadéquats :un mauvais assainissement et une mauvaise hygiène peuvent entraîner des infections et des diarrhées, qui peuvent contribuer à la malnutrition.

- Conflits et déplacements :Les conflits et les déplacements peuvent perturber la production alimentaire et rendre difficile l'accès à la nourriture pour les populations.

La malnutrition constitue un problème grave au Kenya et entraîne de nombreuses conséquences négatives sur la santé et le bien-être de la population. Cela peut entraîner un certain nombre de problèmes de santé, notamment un retard de croissance, une émaciation et des carences en micronutriments. Cela peut également rendre les gens plus vulnérables à d’autres maladies, comme le VIH/SIDA et la tuberculose.